Ecrire pour écrire, mais écrire quand même...

Pour commencer, un petit mea-culpa, quand j'ai mes rêgles, pas de travail, ou que je suis en manque de sexe, je suis aigri... Alors désolé Steven, il est pas si nul que ça ton film... Je me suis même marré en le regardant a nouveau.

Maintenant, vu que tout le monde sait que je n'ai jamais mes rêgles et que je ne suis jamais en manque de sexe, j'en viens a la deuxème motivation de la journée: la fin de ma colaboration avec Canal+...
...et le début de ma colaboration avec Orange, ce vendredi, pour faire exactement la même chose, c'est a dire pas beaucoup pour une contrepartie de plein de pognon.
Ce qui me rassure en somme, car sans taf, je n'aurais pas pu aller au Hellfest cet été, et je n'aurais pas pu voir Amon Amarth. Ce qui signifiait que tout les efforts pour me laisser pousser les cheveux (et les engueulades avec madame) et le régime que j'ai entrepris n'auraient servis a rien...
Me voilà donc rassuré.


PS: J'ai une compagnie de quatre joyeux vikings qui veulent venir, donc je risque de faire un départ de Chauny.

Raaaâââââaaahh !!! !!! !!!

Je viens de tomber sur la critique de mad movies de cette daube. Ils sont complètement malades??? Ils le considèrent comme étant un film FUN ?!? Cette merde herculéenne?!?
J'en suis sur le cul...
Merde quoi, c'est un film de Seagal, il peut tout être, sauf bon ou fun! Il est a 2miliards d'années lumieres de l'intrigue d' "entretient avec un vampire" de la beauté du génial "morse", ou encore de la poésie des films de roméro...

Faites vous une idée par vous même, moi je vais me recoucher.

Steven Seagal vs les vampires...

Against the dark

J'étais, hier soir, tranquillement en train de récupérer de ma chochole de la veille, tout crouteux dans mon canap', devant la télé, quand soudain, une page de pub me fit découvrir la sortie en DVD prochaine du nouveau film du maitre incontestable et incontesté des arts martiaux lutant pour la survie de l'humanité contre une bande de vampires assoiffés de sang...
"Wouaââhhh!!!" M'écriais-je dans un soudain élan de motivation (il faut dire que peu de chose me motivent en ce mmt), il faut absolument que je le télécharge!!!
L'idée même du film mêttant en scene le plus pathétique acteur du cinéma d'action et les êtres de la nuit ne peut engendrer que des scenes et des répliques cultissimes me dis-je...
Dès lors, je me mis à la recherche du trailer sur la toile, apparemment, il est correct.
De bon matin, je cours jusqu'à Auchan et achète le DVD. Quelle ne fut fut pas ma surprise de découvrir...

un pauvre film de Steven Seagal...

...comme toujours, égal a lui même, et affichant un panel émotif riche en néan. Les vampires tiennent plus du Zombi que de quoi que ce soit d'autre, l'intrigue est plus vieille que les morts vivants eux même: un virus, des contaminés, un hôpital, des résistants avec des sabres, l'armée qui veut raser la zone...
Bref, apres avoir exterminé les russes, les japonais, les peaux-rouges, les chinois, la mafia russe-italienne-japonaise-chinoise, les ninjas, les pollueurs, un avion indétectable, les terroristes, les infidels du moyen-orient, le cinéma d'action, les renégas de tout horizon, et j'en passe et des meilleures, il ne reste plus à Steven Seagal qu'un seul ennemi à tuer: Son manque de talent!

RRAAAAAAAAAAAHH!!!

ChochoôÔôole... (ou comment qu'on s'amuse le soir en Picardie)

Les aventures de Jean-Fil-d'égodé-Denlène

Hier, j'ai eu le privilège de participer à une tradition typique de ma nouvelle région d'adoption Picarde: la Chochole.
Quelques potes, quelques bouteilles, un peu de substances illicites, un bon film de cul bien gras (avec au moins une double anale pour le fun), un jeu de carte, une fille qui ne boit pas sont les éléments indispensables pour la réussite de cette activité traditionnelle.
La soirée se déroule comme suit:
On rempli les verres, on sort les cartes, et on roule ce qui doit être roulé, on met en route le film de cul sans le son (histoire de faire du playback), et on balance quelques vannes salaces bien misogynes a la représentante de la race inférieure.
Tout est en place pour la Chochole: les protagonistes retournent une carte, et la découverte de cette carte provoque un effet,

• 7 _ distribution de trois gorgées.
  
• 8 _ distribution de deux gorgées.
  
• 9 _ distribution d'une gorgée.
  
• 10 _ séries de marque au tour par tour dans une catégorie bien ciblée.
• J _ suite de chiffres au tour par tour sans prononcer les 7 ni les multiples de 7 (1,2,3,4,5,6,*,8,9,10,11,12,13,*,15,16,*,18,19,20,*,22,23,24,25,26,*,*,30...) bien entendu, les astérisques sont à remplacer par une expression déstabilisante pour les autres protagonistes (genre singe froid), et le sens de rotation change.
  
• Q _ "Je met dans ma valise..." chaque joueurs rajoute un objet dans la valise (comme un singe froid...), et le suivant doit répéter la série complète.
  
• K _ l'heureux participant invente une règle générique de son choix (ne pas prononcer les "r", ne plus utiliser ses mains...).
  

• 1 _ le dernier a crier ChochoôÔôole boit cul-sec (sans vaseline donc).

Pour les cartes de dix à as, il va sans dire que toute faute de jeu se solde par la prise d'une gorgée.
Comme vous avez pu le constater, il est un verbe proscrit lors de cette activité ludique; en effet, le verbe "bwar" ne peut être évoqué quelque soit la déclinaison employée durant toute la soirée, sous peine de provoquer une grave faute de jeu (carton noir en "bwa" avec des clous) et la sanction immédiate est de faire les pizzas ou autre contraintes ménagères réservées à la femme de service (vu qu'elle ne boit pas, il faut bien qu'elle serve à quelque chose...).

Tout ça pour dire que les soirées sont bien fun, et que la gueule de "bwa" du lendemain est bien méritée...